mercredi 23 septembre 2009
vendanges du 23 septembre 2009
lundi 1 juin 2009
premières récoltes
jeudi 21 mai 2009
activités culturelles dans le Perche
et de très grandes qualités dans la région
ci-dessous un petit échantillon ...
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écoutez aussi Rhoda Scott (notre voisine de Coulonges)
qui se produit régulièrement pour la plus grande joie de tous !!
prochainement à la Chapelle Montligeon
en cliquant sur: http://www.wat.tv/video/boissy-maugis-19-avril-2009-1hjlh_r8uw_.html
« Paix, réconfort, oecuménisme », tels sont les mots prononcés par Rhoda Scott à propos du concert à la basilique de La Chapelle-Montligeon, samedi 13 juin. La célèbre organiste déclare à cette occasion qu'elle est « la plus catholique des protestants ». On se souvient que son père était pasteur dans le New Jersey (USA) et qu'elle l'accompagnait à l'orgue.
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mercredi 13 mai 2009
le Perche vu de New York
Colette ROSSANT écrivain journaliste franco-américaine - http://www.coletterossant.com/
a écrit un article sur notre région dans le NY Times ....
qu'elle décrit comme un pays encore "en friche" !!
à lire dans le lien ci-desous:
http://travel.nytimes.com/2007/03/25/travel/tmagazine/03well.perche.t.html?em&ex=1174881600&en=8c1087651f7fe28e&ei=5087%0A
nous étions à un "café littéraire"
une conférence très brillante qu'elle nous a faite
aussi le site son Mari James Rossant, Architecte à NY
http://www.jamesrossant.com/index2.html
Architect
James S. Rossant is an internationally known architect and urban designer,
currently president of James Rossant Architects (since 1995)
and formerly president of Conklin Rossant Architects (1967-95).
Jim Rossant, un architecte et artiste de stature internationale,
a décidé de venir passer sa retraite à Condeau.
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voir également le site d'une autre voisine peintre
de Condeau (été) et Californie (hiver)
journal le Perche du mercredi 20 mai 2009 page 40
jeudi 16 avril 2009
vendredi 10 avril 2009
Mont Athos au Petit Palais
à signaler
Une exposition exceptionnelle
«Le mont Athos et l’Empire byzantin.
Trésors de la Sainte Montagne».
Du 9 avril au 5 juillet 2009,
Musée des beaux-arts de la Ville de Paris,
au Petit Palais (avenue WinstonChurchill, 75008 Paris).
Tous les jours de 10 heures à 18 heures (sauf les lundis et jours fériés);
nocturne le jeudi jusqu’à 20 heures.
Accessible aux personnes handicapées.
MUSÉE DU PETIT PAL AIS
« Il n’y a jamais de source de lumière sur les icônes car la lumière est leur sujet, on n’éclaire pas le soleil. On peut même dire que la contemplation de la Transfiguration enseigne à tout iconographe qu’il peint beaucoup plus avec la lumière qu’avec les couleurs. Même en termes techniques, le fond d’or de l’icône s’appelle “lumière”, et la méthode picturale, la “clarification progressive”. En traitant un visage, l’iconographe le recouvre d’abord d’un ton sombre ; ensuite il met par-dessus une teinte plus claire obtenue par l’addition au mélange précédent d’une certaine quantité d’ocre jaune, c’est-à-dire de lumière. On répétera plusieurs « Un manuscrit du mont Athos insiste sur “la prière avec fois cette superposition de tons de plus en plus illuminés. des larmes, afin que Dieu pénètre l’âme” de l’iconographe, Ainsi l’apparition d’une figure suit une progression qui reproduit et conseille “la crainte de Dieu, car c’est un art divin, transmis la croissance en l’homme de la lumière. à nous par Dieu lui-même”. (…) “Nous réfléchissons comme dans un miroir la gloire du Seigneur” : Disons l’essentiel : pour l’Orient, l’icône est un des sacramentaux, une icône est ce miroir tout ruisselant de l’attribut majeur plus précisément celui de la présence personnelle. Le stichère de gloire : la lumière. L’art étonnant de Roublev dans sa divine (NDLR : chant intercalé dans les psaumes) des vêpres de la fête de Trinité traduit l’éclat trisolaire qui illumine le monde. Selon saint Notre-Dame de Vladimir le souligne : “En contemplant l’icône, tu dis Grégoire Palamas, la lumière du Thabor, la lumière contemplée avec puissance : ma grâce et ma force sont avec cette image.” (…) par les saints et la lumière du siècle futur sont identiques. (…) Le Concile de 860 affirme dans le même sens : “Ce que l’Évangile Les nimbes qui entourent les têtes des saints sur les icônes ne sont nous dit par la parole, l’icône nous l’annonce par les couleurs point des signes distinctifs de leur sainteté, mais le rayonnement et nous le rend présent.” (…) de la luminosité de leurs corps. (…) Certes, l’icône n’a pas de réalité propre ; en elle-même, La fusion de l’élément artistique et de la contemplation mystique elle n’est qu’une planche de bois ; c’est justement parce qu’elle tire inaugure une théologie visionnaire. La vision, ici, exprime la foi toute sa valeur théophanique de sa participation au “tout-autre” au sens où saint Paul nomme celle-ci “vision de l’invisible” (Hb 11, au moyen de la ressemblance, qu’elle ne peut rien enfermer 1). L’icône s’adresse aux yeux de l’esprit pour qu’il contemple les en elle-même, mais devient comme un schème de rayonnement. “corps spirituels” (1 Co 15, 44). Le style ecclésial filtre toute visionL’absence de volume exclut toute matérialisation, l’icône traduit subjective, car c’est l’Église qui voit l’objet de la foi, ses mystères.une présence énergétique qui n’est point localisée ni enfermée, Si l’architecture sacrée du Temple ordonne l’espace, et le Mémorialmais rayonne autour de son point de condensation. liturgique, le temps, l’icône expérimente sur l’invisible. (…) L’état deC’est cette théologie liturgique de la présence, affirmée dans le rite grâce, enseigne saint Séraphin, illumine pour faire voir la lumière.de la consécration, qui distingue nettement l’icône d’un tableau à L’icône la révèle à tous ; prière, elle purifie et transfigure sujet religieux et trace la ligne de démarcation entre les deux. (…) à son image celui qui la contemple ; mystère, elle enseigne qu’il y a une œuvre d’art est à regarder, elle ravit l’âme ; émouvante là le silence habité, la joie du ciel sur la terre, l’éclat de l’au-delà. » et admirable à ses sommets, elle n’a pas de fonction liturgique. Or, l’art sacré de l’icône transcende le plan émotif qui agit par la sensibilité. (…) L’artiste s’efface derrière la Tradition qui parle, les icônes ne sont presque jamais signées ; l’œuvre d’art laisse place à une théophanie ; tout spectateur à la recherche d’un spectacle se trouve ici déplacé ; l’homme, saisi par une révélation fulgurante, se prosterne dans un acte d’adoration et de prière. (…) La primauté de l’avènement théophanique décentre toute composition iconographique du contexte historique immédiat, n’en garde que le strict nécessaire pour reconnaître un événement ou le visage d’un saint à travers ses traits épurés par le céleste. Le visage est naturel sans être naturaliste. C’est pourquoi l’icône d’un vivant est impossible et toute recherche d’une ressemblance charnelle est exclue. La vue d’un iconographe passe par une ascèse, par le “ jeûne des yeux” (saint Dorothée) afin de coïncider avec celle de l’Église. Forme puissante de prédication et expression des dogmes, l’icône est soumise aux règles transcendantes de la vision ecclésiale. »
Paul Evdokimov, L’Art de l’icône. Théologie de la beauté (Desclée De Brouwer, 1972), p. 160-161 et 153-156.
suaire Pantocratoros
source: numéro de la Croix des 11 & 12 avril 2009
http://journal-en-ligne.la-croix.com/ee/lacr/_main_/2009/04/11/001/
jeudi 2 avril 2009
mardi 27 janvier 2009
BONNE ANNEE du BOEUF
Quelle est la date du nouvel an chinois 2009?
lundi 12 janvier 2009
http://www.6milliardsdautres.org/
10 janvier - 12 février 2009
Après 10 ans de survol de la planète pour réaliser La Terre vue du ciel, Yann Arthus-Bertrand a lancé en 2003 avec Sybille d'Orgeval et Baptiste Rouget-Luchaire le projet " 6 milliards d'autres ".
5.000 portraits vidéos ont été réalisés dans 75 pays par 6 reporters partis à la rencontre des Autres.
Du pêcheur brésilien à l'avocate australienne, de l'artiste allemande à l'agriculteur afghan, tous ont répondu aux mêmes questions : " Qu'avez-vous appris de vos parents ? Que souhaitez-vous transmettre à vos enfants ? Quelles épreuve avez-vous traversées ? Que représente l'amour pour vous ?... "
Du temoignage le plus léger au plus profond, transportés par l'émotion vers plus de réflexion, vous côtoierez à votre tour ces hommes et ces femmes.
Un voyage au coeur de notre humanité pour réfléchir ensemble à la diversité humaine et culturelle.